Jadis, si je me souviens bien
« Ce livre raconte, à travers ses liens et ses rencontres, le destin d'une génération d'étudiants devenus résistants. C'est le récit vivant, à la fois plein de poésie et d'humour, y compris un peu d'autodérision, de tous les milieux intellectuels parisiens qu'il fréquentait, et, enfin, il s'arrête au moment décisif de sa rupture avec le communisme. Ce livre est la confession d'un enfant du XXe siècle, d'une très grande beauté d'écriture, alerte, évocatrice, gouailleuse parfois. Rolland avait écrit des romans, la plupart nourris de son expérience résistante, mais le roman véritable, celui de sa vie et de son destin, est ce livre même. » Extrait de la préface d'Edgar Morin